Les pas de karen résonaient anormalement dans les immenses couloirs de l'académie. Depuis les trois années qu'elle avait passées ici, elle s'était enfin faites au dédale de coridors que comptait l'académie. Chaques recoins lui était familié. Les chaches où se placer lors d'une excursion après le couvre feu pour ne pas se faire prendre lui était toute connu. Oui, karen commençait à se faire à l'idée qu'elle "appréciait" l'académie. Elle n'aurait jamais crut pouvoir penser cela un jour, son intention initial étant d'être venu ici dans un but destructeur. Mais ça position et ses idées n'avait pas pour autant bougée d'un poil. Le seul endroit qui lui était réellement inconnu était le sous-sol. en réalité, elle n'avait jamais voulu s'y aventurer. Non pas qu'elle avait peur, le comble pour une Anaway, mais plutot qu'elle n'avait jamais considérer ce lieu comme un endroit stratégique. Elle savait tout de même les rumeur qui circulait sur les personnes qui rodait dans cet antre noirs, et les"on dit" étaient venus renforcé son opinion. Elle remarqua alors qu'elle s'était arretée au beau milieu du couloirs, et qu'elle commençait à appercevoir la foule aglutinée autour des casiers les plus proche. Elle allait devoir patienter. se retrouver collez entre deux hystérique ne l'enguallardissait point. Elle s'adossa au mur un patienta, Ipod sur les oreille. La musique atteignit ses tympants, et elle se détendit soudainement.
Au bout de quelques minutes, la cohue sembla se dissiper.Elle se dirigea alors vers son casier, chaque rentrée, elle savait ce qui l'attendait, mais le spectacle qui s'offrit à ses yeusx losqu'elle ouvrit le casier était pire que ce qu'elle pouvait imaginer. tout d'abord, elle échappa de justesse d'une tentative d'assassinat de la part d'un cahier qui se jeta sur elle sauvagement, mais qu'elle esquiva, puis toutes ses affaire tombèrent au sol dans un fouilli indescriptible.
*Il me semble que je me vois dans l'obligation de remetre en vigeur un mot que j'avais omis l'an passé : ordre*
L'expression figée sur la lassitude, elle entreprit donc un rangement parfait, avec un ordre irréprochable. Ce fut l'affaire de quelque minutes. Elle selectionna ensuite soigneusement les affaires dont elle avait l'utilitée, raferma son sac et son casier, et tourna les talons. Malheuresement pour elle, l'heure du déjeuner approchant et le nombre d'élève dans les couloirs augmentait de minutes en minutes. Elle souflla bruyament, et siffla entre ses dents (signe d'enervement profond). Puis, a contrecoeur, elle se fraya un passage dans la foule compacte. Elle entrevoyait enfin un point calme de repos où elle pourrait patienter calmement avant d'aller prendre son déjeuner. soudain, dans un moment de relachement de son attention,quelqu'un la percuta de plein fouet, manquait de la faire tonbée au sol, chose qu'elle identifiait au déshonneur. Elle chancela puis une fois de nouveau sur ses appuis et se retourna pour voir le fautif qu'elle avait la ferme attention de lui balançer sa colère à la figure...
[J'ai mentionner plus au un couvre-feu. S'il n'y en a pas à l'académie ou que vous ne pensez pas qu'il soit judicieux d'en mettre un, je rectifierait]